C’est pas le tout : il s’agirait maintenant de se pencher sur l’aspect efficacité de la Culture du Risque et sur son côté plus imagé. Deux aspects quelque peu opposés…

Toujours aussi clair, Gipeurien…

Je pense avoir compris : face à un risque majeur, comment je me comporte, quelles doivent être mon approche, mon attitude ? Notre fameux “je fais quoi ?” quoi ! C’est l’idée, avec deux éléments qui, non pas, s’opposent mais se complètent.

En fait, je me demande quelle est la part d’habillage et celle de fécondation donc de reproduction.

Bien ce que je disais : toujours aussi clair !

Alors, pour Monsieur Hon’Sépa, pour parler simple, je me demanderais quelle est la composition de la partie extériorisée et celle de la partie intériorisée de la Culture du Risque ? C’est mieux, dit comme ça ?

Heu… !

Pour dire vrai, j’évoquerais plutôt un mélange savant et non, deux blocs séparés. Par exemple, au hasard si l’on reprend la définition générique de la Culture du Risque, initiée par notre site, on y trouve des missions de recherche, de réflexion, de réactivité, d’accomplissement, de qualification. Nous entrons dans un monde – on est bien d’accord, celui de la Culture du Risque – ou des notions, des termes, comme inconnu, impalpable, implacable se frottent à d’autres notions et termes tels que certitude, acquis, constance, activité et autre. Chacun est détenteur d’une vérité, ce qui, au final, leur permet de se compléter et ainsi, de former un tout. Aussi, à ce titre, réunis, tous tendent vers l’objectif commun à toute approche de risque, à savoir l’acquisition de la connaissance : connaissance de Soi, connaissance du Risque, connaissance de son Environnement.

Oui, mais la Culture, elle possède une image que Gipeurien a appelée tout à l’heure “l’habillage”. Il a ajouté un ensemble d’idées ou, si vous préférez, une idéologie. C’est ce qu’il a nommé “fécondation/reproduction”. Peut-on vraiment faire un amalgame, même s’il est savant ? Je retiens la spécification que vous avez donnée au mélange, Jefékoa. Je me suis demandé si le “savant” avait son importance et il me semble que oui, si on se base sur le respect de l’ordre de réalisation des missions. Mais, je suis peut-être à côté de la plaque ?

Je crois qu’on s’en fout un peu, non ?

En forme, tous les deux aujourd’hui ! Retenons l’essentiel : la Culture du Risque, c’est une conscience. À ce titre, nous devons la considérer.

 

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