On en sort, on y est et on y va…

Ah, Gipeurien a son petit coup de moins bien, il nous prépare un retour vers la philosophie…

Ben, quoi, où est le mal ?

Nulle part au contraire, nous vous écoutons attentivement, allez-y !

Je regarde derrière, je vis le présent et je me projette sur l’avenir. Et j’ai l’impression d’avoir mal partout : l’Environnement et ses coups/coûts d’éclats, les Yellow jackets et leur silence assourdissant, le Covid qui se traîne, la guerre en Ukraine qui est moche et, en plus, s’étire, la trappe du pouvoir d’achat qui s’est ouverte, la pauvreté, l’enfant si peu protégé, la femme forte et fragile, battue trop souvent, la multiplication et la multiplicité des questions sécuritaires, qui n’en finissent pas, le handicap qui n’est ni facile à vivre ni simple à comprendre, l’émigration montrée du doigt…

Le monde tourne, les jours passent et chacun d’entre eux est un événement. SI l’un était un non-événement, c’est que, ce jour là, la vie, instantanément, se serait arrêtée. La seule qui sache stopper ce mouvement perpétuel, c’est la mort. Celle qui rôde et arrive lentement, puisqu’on la voit venir et, celle qui vous surprend, même celle qui vous frôle pour repasser plus tard, parfois, beaucoup plus tard. La mort, elle n’arrête pas, 24/24,7/7, partout dans le monde…

Je sais qu’avec l’ensemble des événements qui se réalisent autour de nous, surtout depuis fin février, il n’ ya pas de quoi être totalement détendus. Mais si vous faites allusion aux menaces de Monsieur Poutine et de sa clique, sur le nucléaire, vous entendrez que les commentateurs et spécialistes de la question russe, sont plutôt rassurants, quant aux intentions réelles de ces messieurs…

Ah, les spécia…

Oui, vous avez raison. Mais, tout de même, vous croyez sincèrement qu’ils enverront des missiles sur Berlin, Paris, Londres et Washington, sachant que dans le quart d’heure qui suivra…

Même pas !

les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France, pratiquement simultanément, leur rendront la pareille ? Par contre, ce que l’on peut craindre, c’est pour l’Ukraine, avec l’emploi du nucléaire tactique !

Tout cela me navre. Aussi, c’’est en entamant des discussions comme celle-ci, que nous, en France, ferions bien de prendre la véritable mesure des événements actuels et que l’on réfléchisse. Événements actuels, et…

Ou…

futurs possibles…

Ou pas, possibles !

Ou pas, bien sûr…

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