C’est vraiment le grand foutoir…
Vous parlez de quoi ?
En fait, je ne sais pas trop ! j’avais une idée précise de ce qu’est le Développement Durable, la définition était plutôt limpide, mais maintenant j’avoue patauger…
Attendez, on va essayer de clarifier un peu tout ça. D’abord, petit rappel de la définition. Tenez Hon’Sépa, petite révision, si vous voulez bien…
Mais volontiers, même s’il y en a plusieurs. la plus connue je crois et, surtout, celle qui est relativement facile à mémoriser, est celle de l’ONU : “Ensemble de décisions qui améliore les conditions de vie du présent, sans mettre en danger les ressources pour les générations futures”…
Ouais, ben, on en est loin. Quand vous voyez le pays le plus riche qui quitte les accords de Paris, vous pouvez vous dire que ça sent le roussi, tout ça !
Appelons un chat, un chat, le pays dont nous parlons, ce sont les US. Ce qui veut dire, que d’autres peuvent suivre. Et je pense particulièrement à un “admirateur” de Trump, Javier Milei, le président argentin et à – non pas son pire ennemi, parce que Xi, le président chinois s’inquiète – mais à Poutine. Or, si cet accord signé par quelques 196 États, vole en éclats, je ne donne pas cher de la suite des opérations…
Le point numéro 1, c’est d’y croire à ce Développement. Donc, peut-être d’abord insister sur l’objectif de ces accords. On discute à l’échelle mondiale et on est sur des actions spécifiques. Si je veux en retenir trois je parlerais du soutien à ceux qu’on appelle, les pays pauvres, maintenir le réchauffement sous les 2°, et agir de façon à limiter la hausse des températures à 1,5 °C…
Sauf que je crois avoir entendu que les 2°, on y est. Ce qui impliquerait dès maintenant un changement radical de nos modes de vie, de développement…
L’info reste tout de même à vérifier. En tout cas, raison de plus pour que les peuples soient directement consultés sur leur volonté en la matière et faire en sorte que le “fait du prince” ne soit pas le mode de décision. Quand un chef d’État décide de changer les règles du jeu, que la voie et les voix référendaires soient le seul pouvoir de décision reconnu.
Allo, l’ONU ?
C’est bien ce que je disais, ça va secouer !