L’avenir du monde ne se présente pas trop bien, si j’en crois quelques pessimistes…

Ou réalistes, faut voir…

Des chiffres commencent à tomber qui renversent la table, quant à l’avenir de l’humanité sur celle qui est – encore – notre belle planète !

Si j’ai bien compris d’ici à 2050, on avance avec le frein, sur les natalités continentales…

Aucun continent n’est à l’abri…

Seules des variantes interviennent. D’ici 2050, certes pas beaucoup d’influence. Par contre, d’après ce que j’ai pu relever, ce serait plus raisonnablement 2100 qui serait à prendre en compte. Jefékoa, vous en dîtes quoi ?

En fait, actuellement, deux théories s’affrontent : certains experts estiment que l’évolution va continuer à se faire, de façon certes plus réduite mais, toujours positive, au rythme toujours de + 1% par an (c’était + 2, dans les années 60), alors que d’autres, pensent l’inverse. Mieux, ils disent que nous allons assister à un effondrement global des naissances, avec effet sérieux, sur la dernière moitié du siècle. Plusieurs éléments expliquent cette possibilité : la Covid a joué et continue de jouer un rôle, des problèmes de production sur le plan alimentaire, des ressources naturelles qui sont à la baisse ou disparaissent et, bien sûr, le changement climatique qui bouleverse l’équilibre de la Planète avec, pour le moment des taux élevés de pollution, qui sont le contenu premier des explications. Tout cela, mis bout à bout entraînant obligatoirement événement sur événement naturels, pour être clair, crise sur crise. Et à force de colmater les brèches, viendra un moment où ce sera la rupture…      

Si je vous entends, entre la peur, la raison, et le calcul, les couples auront à considérer ou reconsidérer leur décision de concevoir, en fonction des éléments de réflexion du moment…

Plutôt, très en amont du moment. Nous sommes face à un Risque, il faut se préparer. D’ailleurs, il est plus que probable que nombreux sont ceux qui ont déjà entrepris cette démarche. Les prochains chiffres parleront !

À mon avis le Cov…

La…

Covid a déjà parlé.

Cela étant, il faut tout de même temporiser et ne pas tirer de conclusions hâtives. Aussi bien celles de l’ONU en la matière que d’autres, sont toujours dans des marges de progression sensible, avec une évolution de 7,7 milliards d’habitants aujourd’hui, passant à 9 à 10 milliards en 2050. Mais, attention, après, vous pourriez fort bien repasser sous la barre des 9 milliards, à la toute fin du siècle, les catastrophes jouant un sinistre premier rôle…

Pêle-mêle : montées des eaux inexorables, expansion des ouragans, craquements terrestres incessants, déplacements des populations, famines, pandémies, j’arrête…

Que va devenir la fécondité, si ce scénario se précise et continue de s’installer au fil des ans ?

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