La conscience est un joyau aux multiples facettes. Mais quelle(s) forme(s) prend-elle, face au Risque Majeur ?

Vous abordez de ces questions, vous ! 

C’est un couteau suisse ! Personnellement, je citerais au moins deux formes principales : en un, l’analyse, en deux, la soudaineté. Après, elle possède aussi une fonction de classement, genre sa capacité à se faire fichier, catalogue, répertoire ou inventaire, tout ce qui existe à base de liste, quoi ! Sachant, qu’en dernier, elle assume également, l’association d’idées…

Allez la définir après tout ça !

Ce n’est pas ce que l’on veut faire non plus. Finalement, à y regarder de près et pour aller au plus simple, sa fonction d’analyse…

Qui dit analyse dit réflexion…

Je suis d’accord. Donc, l’analyse – et la réflexion – lui permettent de déboucher pour une part, sur le classement, et d’autre part, d’amener en même temps, la deuxième fonction, celle-ci purement réactive, celle de la soudaineté… Soit un ensemble substantiel, – analyse/réflexion, classement, soudaineté – qui fait de la conscience, un incontournable de l’approche du Risque. Reste l’association d’idées, je ne pense pas qu’elle intervienne, il faudrait le vérifier.

Avec la soudaineté, on touche en fait à la Prise de Conscience ?

Oui, c’est elle qui est l’aboutissement du travail entrepris en amont et, le point de départ pour la suite de l’approche…

En partie consciemment, en partie inconsciemment…

Non, mais attendez, ce n’est plus de la conscience, votre affaire et, sans lui manquer de respect, ça devient le gloubi boulga de Casimir, pardon pour lui !

Quoiqu’il en soit et, très sérieusement, on s’aperçoit que la conscience prend une place essentielle dans la lutte de l’être humain, confronté à son propre Risque Majeur ou au sujet Risque Majeur, dans sa globalité. Et, dans ce contexte, l’intérêt de notre échange, est de la positionner comme étant l’expression première, issue de l’individu. Avec elle, il peut aller très loin dans sa décision finale, avec : “Je me prends en charge”. À partir de là, au cours de sa marche de reconnaissance du Risque, il ne peut qu’entrer dans une progression constante vis à vis de lui-même en tout premier point et, en second, auprès des autres. Évolution capitale !

La boucle est bouclée, puisque la conscience détermine la Responsabilisation…

Qui, par le fait, devient Responsabilité. On ferait peut-être bien d’en reparler…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée Champs requis marqués avec *

Poster commentaire